If I was your vampire [free]

Whoa. Je dirais même plus whoaaa ! Je crois que toute ma vie je ne regretterais jamais, même avec toute la meilleure volonté du monde, d’avoir été enfermée ici avec Alexey. Ces 45 minutes avaient été à coups sûrs les plus intenses de ma vie. Avec lui, c’était… Une élévation dans un tourbillon d’étincelles, de couleurs, de sens exacerbés et en même temps tout les sentiments et les pensées annihiler. Tellement de vide dans ma tête, tellement de place pour ce qu’on vivait, s’en était déroutant, presque dérangeant. Trop d’espace. Je perdais pied, et m’abandonnais dans ces bras puissants qui me soutenait. Comment en étions-nous arrivé là ? On était coincé dans un trou à rat pourri du plafond à la cave, et tout ce qu’on trouvait à faire, c’était ça. Enfin, au final, c’était tout de même plus agréable que de jouer aux cartes. Oui, bien plus agréable…

J’ouvris les yeux. Alexey était assis sur le lit, et avait enfilé son jean. Il regardait, visiblement abasourdi, un des angles de la chambre. Je suivit son regard, et me couvrit aussi vite que l’éclair avec les fringues qui traînait sur le lit. Une caméra était branchée. Merde. Merde de merde. Merde, merde et re-merde. Putain, dirais-je même. On avait été filmés. D’un autre côté, fallait s’y attendre. Surveillés, comme des rats de laboratoire. Un frisson me parcourut. C’était dégueulasse. Au moins, ces enfoirés s’était rincés l’œil gratuitement et à nos dépends.

« Putain… Souris, Hilary. J't'avais bien dit qu'on était filmé.»

J’eus un rire sarcastique. Et un sourire sadique. Si je les trouvais, les enculés qui nous avait enfermés ici et filmé pendant qu’on… J’vais les massacrer, y’a pas moyens de faire autrement ! Je tendit la main vers Alex’ et la posais sur son épaule. J’aurais voulu effacer les trois quarts d’heure qui venait de s’écouler, qu’ils n’ai jamais exister, jamais été filmés. Les doigts d’Alex frôlèrent ma main. Il devait certainement penser comme moi. Je me dégageais de la couette, silencieuse, et enfilait ma jupe et mon débardeur. Je contournais le lit, et fit face à Alex. Encore, il se saisit de ma main, et je le laissais jouer avec mes doigts graciles.

« Excuse-moi, je n’ai pas réfléchi, c’est de ma faute… »

Il secoua la tête, et j’insistais. Si je n’étais pas aller chercher la bouteille de vodka, si je ne l’avais pas entraîné à ma suite dans cette chambre… Si au moins j’avais pensé à vérifier qu’il n’y avait rien pour nous surveiller… Mon visage se ferma dans une mimique colérique, et je me tournais vers la caméra, les doigts du russe toujours enfermés sur ma main. A coups sûrs, elle était placée trop haut pour que je l’atteigne toute seule. Il faudrait que je puisse la débrancher, cette salope.

« Aide-moi, on va la fracasser, cette putain de caméra. »

Alexey parut perplexe, pas convaincu par mon idée, et résista quand j’insistais pour le faire lever en tirant sur sa main.

Whoa. Je dirais même plus whoaaa ! Je crois que toute ma vie je ne regretterais jamais, même avec toute la meilleure volonté du monde, d’avoir été enfermée ici avec Alexey. Ces 45 minutes avaient été à coups sûrs les plus intenses de ma vie. Avec lui, c’était… Une élévation dans un tourbillon d’étincelles, de couleurs, de sens exacerbés et en même temps tout les sentiments et les pensées annihiler. Tellement de vide dans ma tête, tellement de place pour ce qu’on vivait, s’en était déroutant, presque dérangeant. Trop d’espace. Je perdais pied, et m’abandonnais dans ces bras puissants qui me soutenait. Comment en étions-nous arrivé là ? On était coincé dans un trou à rat pourri du plafond à la cave, et tout ce qu’on trouvait à faire, c’était ça. Enfin, au final, c’était tout de même plus agréable que de jouer aux cartes. Oui, bien plus agréable…

J’ouvris les yeux. Alexey était assis sur le lit, et avait enfilé son jean. Il regardait, visiblement abasourdi, un des angles de la chambre. Je suivit son regard, et me couvrit aussi vite que l’éclair avec les fringues qui traînait sur le lit. Une caméra était branchée. Merde. Merde de merde. Merde, merde et re-merde. Putain, dirais-je même. On avait été filmés. D’un autre côté, fallait s’y attendre. Surveillés, comme des rats de laboratoire. Un frisson me parcourut. C’était dégueulasse. Au moins, ces enfoirés s’était rincés l’œil gratuitement et à nos dépends.

« Putain… Souris, Hilary. J't'avais bien dit qu'on était filmé.»

J’eus un rire sarcastique. Et un sourire sadique. Si je les trouvais, les enculés qui nous avait enfermés ici et filmé pendant qu’on… J’vais les massacrer, y’a pas moyens de faire autrement ! Je tendit la main vers Alex’ et la posais sur son épaule. J’aurais voulu effacer les trois quarts d’heure qui venait de s’écouler, qu’ils n’ai jamais exister, jamais été filmés. Les doigts d’Alex frôlèrent ma main. Il devait certainement penser comme moi. Je me dégageais de la couette, silencieuse, et enfilait ma jupe et mon débardeur. Je contournais le lit, et fit face à Alex. Encore, il se saisit de ma main, et je le laissais jouer avec mes doigts graciles.

« Excuse-moi, je n’ai pas réfléchi, c’est de ma faute… »

Il secoua la tête, et j’insistais. Si je n’étais pas aller chercher la bouteille de vodka, si je ne l’avais pas entraîné à ma suite dans cette chambre… Si au moins j’avais pensé à vérifier qu’il n’y avait rien pour nous surveiller… Mon visage se ferma dans une mimique colérique, et je me tournais vers la caméra, les doigts du russe toujours enfermés sur ma main. A coups sûrs, elle était placée trop haut pour que je l’atteigne toute seule. Il faudrait que je puisse la débrancher, cette salope.

« Aide-moi, on va la fracasser, cette putain de caméra. »

Alexey parut perplexe, pas convaincu par mon idée, et résista quand j’insistais pour le faire lever en tirant sur sa main.