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| | | Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] |  |
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Rafaël D. Evasione
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OCCUPATION : En temps normal, je photographie. Mais là, je cherche un moyen de les faire sortir.
![Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Vide](https://2img.net/i/fa/vide.gif) | Sujet: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] ![Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Jeu 30 Juil - 14:31 | |
| Ouai je sais. Je suis ridicule. Mais c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour entré. Vous savez qu'il y a pas de caméra dehors? Dans quelques mètres je pourrais me relevé, je serai dans l'angle mort des deux caméras. Perso, je compatis pour les autres, mais si je ne leur serai pas utile captif dans ce Manoir. La preuve qu'on ne peut pas sortir de cet enfer par le chemin que j'emprunte ; Une personne qui rampe sur le sol, ça passe, mais 2 ou 3 jamais. Il allait encore falloir que je cherche, je crains que ça mette du temps avant de trouver le bon chemin. J'abîmes mes habits en rampant ainsi, mais tempis, ce n'est pas le plus important, ma chemise et mon jeans survivront. Heureusement, personnes ne tond ce terrain ici. Les herbes hautes me protègent, bon d'accord, me décoiffe par la même occasion mais je ne pense pas que quelqu'un me verra. Je n'avais pas prévu de ramper. Mais ça ma parut nécessaire pour passer. Ma chemise blanche allait être irrécupérable, je l'ai laissé dans la voiture. Ce n'est pas agréable comme sensations et quand je serai à l'intérieur je vais devoir rester torse nu. Je préfère rester en chemise, même si être torse nu ne me dérange pas, c'était une rare journée de soleil, je risquais pas d'avoir froid. Bon, j'y suis presque. 1 mètres tout au plus. Mais au moment j'arrive, j'aperçois à ma droite de longue jambe fonçant droit sur moi. Merde ! Je ne peux plus me permettre de bouger. Je lève la tête. Mon coeur ralentit alors. Pas de blouse, donc elle n'est pas l'une d'entre eux. Mais elle marche le nez en l'air, elle va me tomber dessus d'un moment à l'autre, il n'y avait plus qu'un pas qui nous séparait :
- Stop !
La fille sursauta et malheureusement, me tomba dessus quand même. Mais j'étais dans l'angle mort, elle aussi, "ils" ne nous verrons pas. Je ne qu'étouffer un gémissement de douleur. Bon, elle n'était pas bien lourde, loin de moi de penser ça mais quand quelqu'un vous tombe brutalement sur votre dos, ça ne fait vraiment du bien. Je me redressa et m'assis par terre. Je leva la tête, vérifiant bien être dans l'angle mort puis tourna la tête vers la jeune fille qui me dévisageait sans comprendre. Je fais toujours cet effet-là ces temps-ci. Je ne pus m'empêcher de sourire, c'était risible, mon sourire retenait le rire qui voulait s'échappé de ma bouche.
- Rien de casser ?
Je me doutais que tout allait bien. Elle me regardait avec méfiance, je baissais les yeux sur moi. Oui bon, je ne portais pas de chemise, j'avais les cheveux en bataille et j'essayais d'entrer dans un endroit où tout le monde ne pense qu'a partir. De plus, je ne portais pas de blouse. Ce qui signifiait que je n'étais ni un de ces tarés et un des siens. Il y avait de quoi se poser des questions effectivement.
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| | | | Hilary P. Nelson
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Ven 31 Juil - 15:27 | |
| Oh shit... Je savais que je n'aurais jamais du sortir dehors pour tenter de découvrir une sortie, car j'été a présent affalée de tout mon long sur l'un des scientifiques, qui devait être venu pour nous observer. A la reflexion, ce type n'été pas un scientifique. Il ne portait pas de blouse, et pour cause, il été torse nu, les cheveux dans tout les sens, et un sourire au lèvres. Pourquoi il me regardait comme ça ? Je secouait la tête en signe de négation, pour répondre a sa question.
-Et toi ? Je suis vraiment désolée, en général j'évite de regarder par terre, on ne sais jamais ce qu'on trouve sur le sol ici...
Loin de moi l'idée de penser qu'il pouvait y avoir les restes cadavériques de précédents locataires qui aurait tenté de s'échapper, mais ce n'été pas mon genre de faire copain-copain avec les serpents. Je me relevais et essuyais les traces de terre de mes mains sur la veste de costume grise que je portais. Bah, il ne m'en voudrais pas, et de toutes façons, si il m'avait laissé sa veste, c'est qu'il n'en aurait plus besoin. Je tendis ma main brune et maigre vers le jeune homme, l'aida a se relever.
-Alors, querido, qui est-tu ? Je ne t'ai jamais vu parmi les habitants de ce manoir...
J'avais conscience de la position que j'avais pris, involontairement. Les mains posées sur mes hanches, la tête fièrement relevée, les manches grises été remontées jusqu'a la moitié de mon avant bras, dévoilant le tatouage en forme de coquelicot sur a la base de mon poignet. Mon haut noir, qui découvrait la totalité de mon ventre, ne couvrant que ma poitrine, et la jupe rose de tulle que je portais ce jour-là me faisait ressembler a la Hilary du lycée de New York. La bas, j'été prête a détronée la reine du lycée, j'été provocante, et tout le monde m'enviais... Ici, je n'été qu'une loque parmi tant d'autres.
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| | | | Rafaël D. Evasione
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Ven 31 Juil - 16:07 | |
| Si j'avais eu mal je ne m'en souvenais pas. La demoiselle qui se tenait devant moi est tout à fait charmante. Comme un imbécile, je ne me relève pas tous de suite, la regardant elle d'abord. C'est quand elle me tend la main que je me rends compte que je suis toujours assis sur le sol. La main que je saisis était assez maigre en effet. Je pensais qu'ils étaient censé bien les nourrir et évité qu'ils ne soient mal ? Encore une fois, je pensais leur trouver quelque chose de bons en eux et encore une fois je me suis trompé. A moins que cette fille ne mange délibérément pas. Dans ce cas, c'est encore plus grave et surtout incompréhensible. Les femmes sont-elles toutes pareilles ? Je suis d'accord, un mannequin fait attention à sa ligne. Certaines sont anorexique, mais je suis désolé je ne fais pas de 'Book' pour une fille qui ne mange rien. Bon, évidement, je ne suis pas le seul photographe ici, donc elles trouvent vite des gens qui photographie sans se soucier de leur santé. Mais j'ai mes règles c'est tout. C'est assez affligeant tout ça. Je me relève facilement, sans vraiment tenir la main de la jeune fille, je n'ai pas besoin d'aide pour me relever, j'avais juste besoin de réagir plus vite. Même si je suis un éternel célibataire, ça ne veut pas forcément dire que je suis insensible aux charmes des jolies femmes. Je frottais mes mains sur mon jeans, quand je relevai la tête, elle m'observait digne et fière et tellement mignonne qu'un petit rire s'échappa de mes lèvres. Je me trompe où elle avait été reine du lycée un jour ? Les princesses ont tendance à être ainsi. Bon, elle me regardait bizarrement mais avoué qu'il y a de quoi. Querido ? Une espagnole ? Intéressant.
- Rafaël Damon Evasione, mia bella... Je viens de l'extérieur de ces murs...
Si je l'ai appelé Bella c'était parce qu'elle ne s'était pas gênée pour m'appeler Querido. Je ne suis plus absolument sûr de la signification de ce mot. Ce devait être du genre "chéri" oui quelque chose dans ce genre. Entrainer par ma bonne humeur je ne pensais pas encore à comment elle réagirait en comprenant que je n'étais ni comme elle ni comme eux. Je pensais juste qu'a cet instant, j'avais trouver un passage et que j'étais arrivé sans effort. Bon, le retour allait être plus dur. Mais bon, on fait avec ce qu'on a.
[J'avais une idée pour terminé mais je 'lai oublié désolé x') ]
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| | | | Hilary P. Nelson
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 3 Aoû - 0:22 | |
| Argh, un Italiano ! J'évite de m'étouffer devant lui, et note le fait qu'il m'apelle Bella. Je sais pas vraiment ce que ça veut dire, mais je m'en fout. En même temps, je l'ai apellé querido, qui désigne l'amant. J'essai aussi de ne pas trop tiquer sur le fait qu'il a louché sur ma main de cadavre. Mais bon Dieu, qu'il aille se faire foutre ! Oh, pardon, Seigneur pas du tout puissant, je recommencerais plus... Je me reconcentre sur... Ah, oui, Rafael Damon Evasione... Un nom qui cadre franchement bien avec la situation. Je me présente, polie malgré le fait que les espagnols apprécient pas vraiment les Italiens... Bon, okay, avec les beaux Italiens, on se forcent un peu pour être méchants...
-Hilary Precious Nelson, captfi dans ce manoir de dingue...
Je reluque son sourire amusé quand il entend mon deuxième prénom, et ajoute :
-Pas de commentaire sur mlon deuxième prénom, gracias.
Je m'approche de lui, doucement, et l'observe des pieds a la tête. Des cheveux blond foncé, presque chatain, un visage au traits...harmonieux ne serait pas assez pour le décrire... Bref, beau, quoi... Des yeux de... Wouah, même chose, pas de mot ! Ensuite, un torse totalement divin, sculpté naturellement, ça se devine. Et puis un pantalon noir, volontairement délavé, ou alors le passage dans l'herbe restera un mauvais souvenir pour ce pantalon... Et des baskets noires, simple, mais classe. Pour un peu, je ronronnerais de plaisir tellement c'est fantastique de comtempler un tel Adonis ! Je tourne autour de lui, délibérément, mais pas avec insistance. J'suis pas une violeuse, quand même !
-Tiens, que vois-je, là, dans tes yeux, querido ? minaudais-je. Toi, tu est en train de te demander si j'ai pas été reine du lycée... Pas loin, pas loin... J'été pas assez garce, apparament, alors que la tête couronnée l'été a peine plus que moi...
Je n'ai aucune honte a dire que, quand je le souhaite, je peux être 10 fois pire que ces filles qu'on voit dans Gossip Girl. Elles ressemblent a des anges, a côtés de moi... |
| | | | Rafaël D. Evasione
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 3 Aoû - 17:35 | |
| Je ne pus m'empêcher de rire en voyant son air quand elle remarqua que j'étais italien. Je vis la moutarde lui monté au nez. Donc, pour elle, ce serait tout craché ? Les italiens et les espagnoles ne feraient pas bon ménage ? Je trouve qu'il faut essayer avant de juger. Moi, elle me fait plus rire qu'autre chose. Precious? Mais voyons. bon, il fallait dire que "Evasione" est plutôt approprié pour ma situation. Précieuse, elle l'était peut-être, sûrement. N'empêche ce n'est pas commun. Je fis comme elle dis, aucun commentaire sur son deuxième prénom mais mes yeux parlent d'eux-même. Puis elle commença à me tourner autour. Dans un premier temps, je ne bougea pas, un peu curieux. J'avais l'impression d'être un cheval qu'on jauge pour voir si il vaudrait quelque chose. Alors je me retournais vers elle. Mais elle ne s'arrêta pas continua sa ronde tout en me parlant. Je soupirai et attendit qu'elle se lasse. Elle s'arrêta, je ne sais pas si c'est d'avoir entendu mon soupire ou pas. Je lui tourne le dos la. Pas assez garce ? Parce qu'il fallait être une garce pour être reine du lycée ? Quelle question non mais --'. Juste que je me suis jamais intéressé à ces filles. Donc je ne peux pas savoir comment elles étaient. Je me retourne vers elle. Son regard brillait de défi. elle veut sincèrement jouer avec moi ? Pourquoi pas? Je lui sortis un des mes sourires les plus angéliques.
- Alors je suis soulagé que tu ne fasses pas partie de ces garces-là, signorina, dis-je d'une voix suave et assez chaude,oui.
Je pris sa main dans la mienne et je me pencha tout en l'amenant à mes lèvres. J'y déposa un baiser tout en ne la quittant pas des yeux. Gentleman ? Politesse ? Foutage de gueule oui. Y'a pas à dire je m'amuse bien moi. Elle retira sa main vivement quand le déclic se fit, je la laissait me filer entre les doigts, encore un peu penché avant de me redressé. Je n'aime pas trop qu'on me tourne autour. Je pouvais aller plus loin pour l'embêter mais je n'avais pas encore de raison valable de le faire.
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| | | | Hilary P. Nelson
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 3 Aoû - 18:51 | |
| Je le fusillais du regard tout en retirant ma main, comme si la sienne m'avais brûlée. Je marmonnais une insulte a peine audible, et m'éloignait de quelques pas. Je lui rendi son sourire, tout en y insufflant une pointe de malice. Son attitude me plait, j'ai envie de jouer avec lui. En même temps, il m'enerve. Nan mais il se prends pour qui, l'Italiano ? Un beau mec ? Euuh, okay, j'ai rien dit, parce que franchement, là, il aurait pas tort...
-Qui sais si en fait je ne suis pas la pire des garces, querido..., soupirais-je.
Je m'éloignais de lui, après avoir fait demi-tour, et m'assayait au pied d'un des murs du manoir. Mon coeur allait trop vite pour que ça soit normal. Et comme une conne, j'ai oublié mes cachets a l'interieur du bâtiment. Je sens que ma respiration s'accelère, et je suffoque presque. J'ai horreur de cette sensation d'étouffer sans pouvoir rien faire. Je me relève, incapable de rester en place, et je me mets a agita ma main devant mon visage, dans l'espir de calmer la sensation d'étouffement. J'ai oublié l'Italien, je me fiche qu'il me voit comme ça, tout ce que je sais, c'est qu'a chaque nouvelle crise, j'ai l'impression de mourir. C'est énervant, c'est la deuxième de la journée, j'en peux plus, je vais mourir...
Des mains m'aggripent les épaules, et me relève. Ah, je suis tombée ? Je lève mon visage vers Super Man, et dévisage Rafael. Argh, je l'avais oublié... Il me regarde, comme si j'été folle, j'ai envie de le claquer, c'est affreux, qu'est ce qui se passe ? Des étoiles noires dansent devant mes yeux, je distingue mal le visage de l'Italien. D'un sourire contrit, je m'excuse de ce qu'il a vu. Foutu problème cardiaque, tiens ! |
| | | | Rafaël D. Evasione
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 3 Aoû - 19:15 | |
| Décidément, j'adore cette fille. Je la laisse me fusiller du regard sans riposté, comme si ça ne m'atteignait pas. Je lui souriait, mon regard brillant de malice et de défi. Elle ne m'aime pas, mais elle s'amuse tout autant que moi. Je pense que c'est le principal.
" -Qui sais si en fait je ne suis pas la pire des garces, querido..., soupira-t-'elle."
Je lui retournais un sourire ravageur. Je ne la drague pas, je l'emmerde. Elle sait que je joue. Je peux jouer aussi bien qu'elle. Qu'elle ne s'y méprenne pas surtout. Avec tous ça, j'en oubliais presque ce manoir et ces fichues caméra. Mais j'étais toujours dans l'angle mort. Donc, pas de panique.
- Oh mais je sais que tu ne l'es pas mia bella... Sinon, tu m'aurai déjà mangé tout cru...
De la provoque, pur et simple. Quand je m'y mets je suis un bel emmerdeur. Elle ne releva pas et se détourna. Je la regardais partir avec un merveilleux sourire. Je ne la laissera pas ainsi. Je leva les yeux, pour savoir si il allait falloir à nouveau ramper pour l'atteindre. Non, apparemment. Ca aurait donner une occasion à Hilary de foutre de ma poire. Il me suffisait de longer les mur, les caméra de bouge pas, en dessous, elles ne te voient pas. Hilary était sous l'une d'elles. Temps mieux. A croire qu'il n'ont pas prévu qu'il y aurait des parasites tels que moi. En me rapprochant, je remarquais quelque chose d'anormal chez la jeune fille, il tomba, recroquevillé sur elle-même. Merde. Je pressais le pas, sans pour autant me faire avoir. Arrivé à son côté, je la redressais. Elle semblait ailleurs, en tous cas elle avait du mal à respiré. Je ne savais toujours pas quoi faire quand elle commença à aller mieux. Je laissai les sarcasmes pour plus tard :
- Tu es sûr que ça va ?
Je m'inquiétais réellement. Parce que ce n'était pas du bluf. Je le prendrais mal si elle en profitait pour me sortir quelque chose comme si de rien n'était. Je pris son poignets gauche, cherchant son pouls. Il paraissait lent. Mais je ne suis pas médecin. Je sais juste deviné qu'elle a un problème, peut-être cardiaque. Ben oui, je lis beaucoup, je vois beaucoup de choses aussi. Bref. Par contre j'en revenais pas de ce que je venais d'apprendre. Ce que j'allais dire n'était qu'un aparté, je ne lui parle pas directement :
- Ils ont été jusqu'à prendre des gens pas forcément en super bonne santé...
Mon regard se perdit dans le vide. Je lâchais ses épaules, restant accroupi devant elle. Pensif. Merde, c'était pire que tout ça. Puis je relevais la tête. Attendant qu'elle me confirme si ça allait ou pas.
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| | | | Hilary P. Nelson
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Mar 4 Aoû - 17:55 | |
| Je suffoque encore un peu, mais ça va mieux, mieux que tout a l'heure. Je suis habituée a cet état, après une crise. Je fait signe a Rafael que sa va, et je tente de me relever. Bon, ça marche pas, je me rassoit, et fixe le jeune homme. Je repense a ce qu'il a murmurer, ce n'est sans doute pas a moi qu'il s'adressais, mais je relève quand même.
-De quoi tu parles, Rafael ?
Je me saisis de sa main, et la serre pour l'obligé a répondre. Si il ne fait pas, je le mord jusqu'au sang, et je l'emmène aux malades qui nous servent de tortionnaires. Il me regarde, je ne sais pas si il est surpris, en colère, ou quoi que ce soit d'autre, mais ça me gène. Je le lache et me relève, sans retomber, cette fois. Je m'adosse au mur, et inspire un bon coup. Pourquoi suis-je genée par le fait qu'il me fixe avec une expression indéfinissable. Je frotte la cicatrice de mon poignet, celle sous laquelle se cache la petite puce electronique que les Cinglés nous ont glissées sous la peau. J'ai vu la même sur Alex', et sur les autres captifs. [désolée, c'est carrément trop court] |
| | | | Rafaël D. Evasione
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Jeu 6 Aoû - 21:26 | |
| Mon expression est assez indéfinissable, en effet. Un peu surpris. Je m'attendais pas à ce qu'elle me pose une question sur mes murmures. Je parle souvent tout seul. Quand je suis seul ça ne me pose pas de problème, mais en public, les gens ont tendance à ne pas comprendre à a vous prendre pour un fou. Seulement, la plupart du temps, on m'ignore. Puis je fixe la main qui me tient fort. Très fort, je précise. Le truc c'est que je ne réagis pas. Elle trouve ça si important ? Alorsr je vais répondre... J'ouvris ma bouche puis la referma quand elle me lâcha. Elle se releva, l'air déterminer et ne flancha pas cette fois. Quand même un peu hésitante, mais déterminé à rester debout. De qui ai-je entendu que les espagnoles avait un caractère digne et fier ? Je ne sais plus. Ce que je sais, c'est que les italiens ne valent pas mieux. Ca doit être pour ça qu'il y a des tensions entre nous. Bah... Je me relève donc, en jetant un coup d'oeil à la caméra puis vient m'adosser au mur en face d'elle. J'y posais ma tête. Je la regardais complètement sérieux, mais inquiet. Ben oui, je m'inquiète vite pour les gens --'. J'ouvris la bouche pour lui proposer de s'assoir mais je m'en retins à temps. Si fière elle l'était, elle n'aimerai pas ça. Alors je répondit à sa question tout en regardant le poignet qu'elle frottait :
- Ce que font ces "gens" avec vous ressemble à des expériences on va dire... Je n'en suis absolument pas sûr et même si ce n'est pas le cas, c'est déjà bien trop cruel... J'ai basé mes hypothèses sur des expériences... Ne m'interromp pas par pitié ce n'est pas parce que je parle sur un ton si objectif que tout ça ne me fait rien... C'est juste plus facile à en parler ainsi pour faire le plus court possible...
Me précipitai-je de dire en la voyant me jeter un regard pessimiste, je la voyais déjà prête à contré mes propos, à m'assurer que ces gens était des dégénéré mentaux, des cruels psychopathes, ou que sais-je encore. Mais tout ça je le savais. Mais si je parlais comme ça, j'y passerai des heure alors que je voulais abréger. Je la vis refermé la bouche et elle attendit la suite, alors je repris :
- Déjà, le fait que vous étiez... euh... Pucez? Est déjà un obstacle en soi, un sacré obstacle. Je n'aime pas tout ça, de l'extérieur, on dirait des scientifiques qui font des expériences sur des souris blanche... Mais le fait que tu ai ces petites crises est un signe de cruauté et aussi prouve qu'ils n'ont aucun sens moral... Quand on fait des expériences, on prend les individus en meilleur santé, les plus fort,... Je ne dis pas que tu es faible, je dis juste que tu as un point faible par apport aux autres...
Je recommencais à me parler. Cette longue tirade énervante était adressé autant à elle qu'a moi. C'était ma première impression sur cette nouvelle. Plus tard, je trouverai peut-être une autre interprétation. Et ca aurait du être celle-là justement, pas celle que je venais de tenter d'expliquer. Je relevais les yeux vers elle, attendant une rebuffade, peut-être des protestations. Mais c'est vrai que j'avais utilisez un ton assez neutre, voir presque indifférent. Mais je n'ai pas envie d'exposer si ouvertement mes sentiments. Alors je tentais un sourire, qui fut admirablement hésitant :
- J'ai bien l'intention de trouver un moyen de vous faire sortir...
J'attendais, j'attendais la suite. Sa réaction. Oui j'étais hésitant, dans ma voix dans mon regard comme dans mon sourire.
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| | | | Hilary P. Nelson
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Mer 19 Aoû - 20:33 | |
| Mes quoi ? Mes crises ? Oh, il ne savait pas... Personne ne savait, même les Cinglés n'avait pas trouvé cette tare chez moi. J'avais tout simplement été operée très jeune du coeur, et j'été resté fragile. Une horreur, pour moi et mon sale caractère ! Je le regardais en face, tandis qu'il m'expliquait sa théorie. C'été pas bête, et pas impossible. Et puis il parla de nous faire sortir. Soudain très heureuse (nan mais qu'est ce qui cloche chez moi?), je me jetais a son cou, hurlant presque de joie. J'avais pas passé beaucoup de temps ici, mais je ne voulais pour rien au monde continué a vivre aux milieux des Cinglés.
-Gracias, Rafael, gracias ! Je t'en supplie, faut absolument que tu trouve !
Je respirais un bon coup, et son odeur d'homme me chatouilla les narines. Houps. Coupée net dans mon élan, je le lachais, baissais les yeux sur mes pieds, rouge de honte, sans oser le regarder. Je serrais mes poings pour éviter de me marteler toute seule. Ca servait a rien de faciliter la tache aux Cinglès. Nan mais qu'est ce que mon caractère emporté et mon esprit farfelu m'avait encore poussée a faire ? Mon Dieu ! J'avais enlacé un Italien ! Je n'osais pas vraiment faire genre je vais vomir, pour ne pas le vexer. Il avait promis de nous faire sortir de là, et moi, tout ce que je trouvais a faire, c'été ça. Oh gosh, ça craint trooop ! Je relevais un peu mon visage vers lui, il avait l'air de retenir un fou rire, mais en même temps d'être perplexe...
-Huum, pas de commentaire, s'il te plait... Quand aux "crises", c'est un problème cardiaque que j'ai depuis la naissance... C'est moche, et ça m'a empeché d'être pom-pom girl, ajoutais-je, sarcastique...
Je reprends une position normale, un peu arrogante et provocante. Normale, quoi. C'est comme ça que je me sens a l'aise, avec une attitude de fille que rien n'attends, ça me protège, tout simplement... |
| | | | Rafaël D. Evasione
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Sam 22 Aoû - 13:57 | |
| Sincèrement, je ne m'y attendais pas. De fait qu'en première réaction, je me crispa quand elle se jeta à mon cou. Puis elle me remercia. Sincèrement, il n'y a pas de quoi. Je signale juste que je n'ai pas encore trouvé. Si il n'y avait pas ces puces, celui qui était la cause de ma venue ici serait parti depuis longtemps et j'aurai su les faire tous sortir d'ici. Sauf que je me demandais si cette puce dans le poignet était le seul émetteur. Car il se pourrait bien qu'ils aient fait d'autre changement. Je ne suis pas médecin, je ne saurai pas savoir où on pouvait implanter des puces. Je me détendis. Mais je ne la prit pas dans mes bras. J'eus un sourire exquis. Je savais que dans quelque instant elle me lâcherait subitement en se rendant compte de ce qu'elle venait de faire. Ce qu'elle fit évidement. Je la regarda avec un air un peu moqueur. Ses joues était rouge, honteuse et furax. J'aurai bien ris mais elle m'aurait hurler dessus. Et sincèrement, je n'avais pas envie de me faire chopé ici. Quand elle me demanda de faire aucun commentaire, je levais mes mains en l'air et secoua la tête. Lui indiquant que je ne dirais rien mais mes yeux et mon sourire parlaient d'eux-même. Puis elle me parla d'une carrière de pom-pom girl raté à cause de son problème. Je l'observais longuement. Elle avait repris cet air arrogant et provocant. Sincèrement, j'adore.
- Mia bellezza... ne me dis pas que cette carrière te tenait à coeur... J'ai vraiment du mal à t'imaginer agité des pom pom dans tout les sens... Bon j'avoue que l'image de toi dans cet mini-jupe et ce mini-top décolté est assez plaisante...
Je joue avec le feux, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai envie de l'emmerder. J'allais me prendre une gifle dans un instant et ce serait bien fait pour moi. Sauf que je m'y attendrai et que j'aurai attrapé son poignet avant que sa main effleure ma joue...
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| | | | Hilary P. Nelson
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Dim 23 Aoû - 0:29 | |
| Je sourit, tout en le regardant. Moi, pom-pom-girl ? Agiter de gros pompoms colorés en portant THE tenue, celle qui fait fantasmer tout les sportifs ? Non, j'avais pas du tout besoin de ça, voyons ! Rafael continu de me fixer avec son drôle de sourire amusé, comme si il m'imaginais en tenue sexy. Joueuse, comme toujours, je m'approche à nouveau de lui, et résiste tant bien que mal a me pendre a son cou en l'embrassant. Mon hésitation doit se lire dans mes yeux, car il paru soudain... Embarrassé... Ses joues prirent une teinte pivoine révélatrice, et flatteuse pour moi. Au final, je me contente d'un baiser sur sa joue.
-Allez, avoue que ça te plairait, de me voir avec l'uniforme des majorettes sur moi... Ou a côté de moi... Je crois que j'ai quelque chose d'approchant dans ma malle, à l'intérieur... Ils ont vraiment pensé a tout, les Cingles !
Si il avait porté une chemise et une cravate, je l'aurais trainé sans hésité par la cravate jusque dans le manoir. Mais il ne portait ni l'un ni l'autre, a mon grand plaisir. Je l'ai déjà dit, nous autres Espagnoles, avec les beaux Italiens, on se force vraiment pour être méchantes et distantes... Désolée, super-court T_T |
| | | | Rafaël D. Evasione
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 24 Aoû - 21:32 | |
| Embarrassé je l'étais. J'avoue que le rouge m'est monté aux joues en la voyant hésiter à m'embrassé. Dans un sens, je ne l'aurai pas laisser faire. Je ne cherche pas ce genre de complication. Je ne pourrais pas m'engager pour une relation longue ou courte, c'est du pareil au même. J'avoue, ça ne me rassure pas trop de m'engager avec une femme. Pour une nuit ou pour plus longtemps, ce n'est pas possible. Je fronçais légèrement les sourcils. Instinctivement, je mis une certaine distance entre nous deux. J'eus un petit sourire amusé et assez arrogant :
- J'avoue que l'image est tentante... Mais juste l'image... Mais ça ne m'intéresse pas désolé...
J'étais sérieux. Mais peut-être que se faire rembarré ne devait pas être dans ses habitudes. Je ne sais pas comment elle le prendra. Mais il n'empêche que j'aime ce petit effet. Je me redresse un peu, mettant encore plus de distance entre nous. J'observais sa réaction discrètement. La plupart des mec auraient sauté sur l'occasion, bon, certains Italiens n'auraient pas accepté par fierté. Mais ils sont rare ceux-là. Je ne fais pas partis de ceux qui sont fier ni de ceux qui n'hésiterai pas à lui sauter dessus. Je n'aime pas les complications, j'aime bien ma liberté. Et j'ai horreur des coups d'un soir c'est tellement rabaissant. Mais il n'empêche que ça m'amuse un peu. Alors je penchais la tête sur le côté et la regarda angélique :
- Je suis sûr que tu trouvera quelqu'un pour accepter l'offre...
[Pourri mais bon]
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| | | | Hilary P. Nelson
NBRE MESSAGES : 63
ÂGE DU PERSONNAGE : 33
LOCALISATION : Dans mon chateau, tout en haut des nuages x)
OCCUPATION : Désolée, les toilettes sont pas libres...
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Mer 10 Fév - 1:26 | |
| [spoiler]Il recula de quelques pas, et une pointe de colère et de frustration me transperça le coeur. Ce Rafaël, tout Italien qu'il fut, je devais me forçé pour me dire que ça ne collerait jamais entre nous. Il était craquant. Beau, même. Un peu hautain et sarcastique quand il voulait. Un peu moi, quoi. Méditerranéen, donc tempérament de feu, logiquement. Mais tout de même... On était pas des sauvages non plus, pas des solitaires, par chez nous ! Alors son attitude de "désolée ma chérie, pas avec toi. Ni avec toi, encore moins avec l'autre, au fond de la salle !" elle commençait doucement à m'enerver ! Il déclina galamment ma "proposition", et déclara que quelqu'un d'autre l'acceptera peut-être avec plus de joie que lui. Je grimaçais doucement. Je n'en voulais pas un autre ! Je le voulais lui, et je l'aurais, quoi qu'il arrive. Dussé-je le faire enfermer par les Cinglés avec nous, il restera à mes côtés. Je detestais que mes jouets tentent de prendre un semblant de liberté, et celui-là ne ferait pas exception ![spoiler] |
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| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] | |
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| | | | | | Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] | |
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| | Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] | |
| | Auteur | Message |
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Rafaël D. Evasione
| | Sujet: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Jeu 30 Juil - 14:31 | |
| Ouai je sais. Je suis ridicule. Mais c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour entré. Vous savez qu'il y a pas de caméra dehors? Dans quelques mètres je pourrais me relevé, je serai dans l'angle mort des deux caméras. Perso, je compatis pour les autres, mais si je ne leur serai pas utile captif dans ce Manoir. La preuve qu'on ne peut pas sortir de cet enfer par le chemin que j'emprunte ; Une personne qui rampe sur le sol, ça passe, mais 2 ou 3 jamais. Il allait encore falloir que je cherche, je crains que ça mette du temps avant de trouver le bon chemin. J'abîmes mes habits en rampant ainsi, mais tempis, ce n'est pas le plus important, ma chemise et mon jeans survivront. Heureusement, personnes ne tond ce terrain ici. Les herbes hautes me protègent, bon d'accord, me décoiffe par la même occasion mais je ne pense pas que quelqu'un me verra. Je n'avais pas prévu de ramper. Mais ça ma parut nécessaire pour passer. Ma chemise blanche allait être irrécupérable, je l'ai laissé dans la voiture. Ce n'est pas agréable comme sensations et quand je serai à l'intérieur je vais devoir rester torse nu. Je préfère rester en chemise, même si être torse nu ne me dérange pas, c'était une rare journée de soleil, je risquais pas d'avoir froid. Bon, j'y suis presque. 1 mètres tout au plus. Mais au moment j'arrive, j'aperçois à ma droite de longue jambe fonçant droit sur moi. Merde ! Je ne peux plus me permettre de bouger. Je lève la tête. Mon coeur ralentit alors. Pas de blouse, donc elle n'est pas l'une d'entre eux. Mais elle marche le nez en l'air, elle va me tomber dessus d'un moment à l'autre, il n'y avait plus qu'un pas qui nous séparait :
- Stop !
La fille sursauta et malheureusement, me tomba dessus quand même. Mais j'étais dans l'angle mort, elle aussi, "ils" ne nous verrons pas. Je ne qu'étouffer un gémissement de douleur. Bon, elle n'était pas bien lourde, loin de moi de penser ça mais quand quelqu'un vous tombe brutalement sur votre dos, ça ne fait vraiment du bien. Je me redressa et m'assis par terre. Je leva la tête, vérifiant bien être dans l'angle mort puis tourna la tête vers la jeune fille qui me dévisageait sans comprendre. Je fais toujours cet effet-là ces temps-ci. Je ne pus m'empêcher de sourire, c'était risible, mon sourire retenait le rire qui voulait s'échappé de ma bouche.
- Rien de casser ?
Je me doutais que tout allait bien. Elle me regardait avec méfiance, je baissais les yeux sur moi. Oui bon, je ne portais pas de chemise, j'avais les cheveux en bataille et j'essayais d'entrer dans un endroit où tout le monde ne pense qu'a partir. De plus, je ne portais pas de blouse. Ce qui signifiait que je n'étais ni un de ces tarés et un des siens. Il y avait de quoi se poser des questions effectivement.
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| | | | Hilary P. Nelson
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Ven 31 Juil - 15:27 | |
| Oh shit... Je savais que je n'aurais jamais du sortir dehors pour tenter de découvrir une sortie, car j'été a présent affalée de tout mon long sur l'un des scientifiques, qui devait être venu pour nous observer. A la reflexion, ce type n'été pas un scientifique. Il ne portait pas de blouse, et pour cause, il été torse nu, les cheveux dans tout les sens, et un sourire au lèvres. Pourquoi il me regardait comme ça ? Je secouait la tête en signe de négation, pour répondre a sa question.
-Et toi ? Je suis vraiment désolée, en général j'évite de regarder par terre, on ne sais jamais ce qu'on trouve sur le sol ici...
Loin de moi l'idée de penser qu'il pouvait y avoir les restes cadavériques de précédents locataires qui aurait tenté de s'échapper, mais ce n'été pas mon genre de faire copain-copain avec les serpents. Je me relevais et essuyais les traces de terre de mes mains sur la veste de costume grise que je portais. Bah, il ne m'en voudrais pas, et de toutes façons, si il m'avait laissé sa veste, c'est qu'il n'en aurait plus besoin. Je tendis ma main brune et maigre vers le jeune homme, l'aida a se relever.
-Alors, querido, qui est-tu ? Je ne t'ai jamais vu parmi les habitants de ce manoir...
J'avais conscience de la position que j'avais pris, involontairement. Les mains posées sur mes hanches, la tête fièrement relevée, les manches grises été remontées jusqu'a la moitié de mon avant bras, dévoilant le tatouage en forme de coquelicot sur a la base de mon poignet. Mon haut noir, qui découvrait la totalité de mon ventre, ne couvrant que ma poitrine, et la jupe rose de tulle que je portais ce jour-là me faisait ressembler a la Hilary du lycée de New York. La bas, j'été prête a détronée la reine du lycée, j'été provocante, et tout le monde m'enviais... Ici, je n'été qu'une loque parmi tant d'autres.
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| | | | Rafaël D. Evasione
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Ven 31 Juil - 16:07 | |
| Si j'avais eu mal je ne m'en souvenais pas. La demoiselle qui se tenait devant moi est tout à fait charmante. Comme un imbécile, je ne me relève pas tous de suite, la regardant elle d'abord. C'est quand elle me tend la main que je me rends compte que je suis toujours assis sur le sol. La main que je saisis était assez maigre en effet. Je pensais qu'ils étaient censé bien les nourrir et évité qu'ils ne soient mal ? Encore une fois, je pensais leur trouver quelque chose de bons en eux et encore une fois je me suis trompé. A moins que cette fille ne mange délibérément pas. Dans ce cas, c'est encore plus grave et surtout incompréhensible. Les femmes sont-elles toutes pareilles ? Je suis d'accord, un mannequin fait attention à sa ligne. Certaines sont anorexique, mais je suis désolé je ne fais pas de 'Book' pour une fille qui ne mange rien. Bon, évidement, je ne suis pas le seul photographe ici, donc elles trouvent vite des gens qui photographie sans se soucier de leur santé. Mais j'ai mes règles c'est tout. C'est assez affligeant tout ça. Je me relève facilement, sans vraiment tenir la main de la jeune fille, je n'ai pas besoin d'aide pour me relever, j'avais juste besoin de réagir plus vite. Même si je suis un éternel célibataire, ça ne veut pas forcément dire que je suis insensible aux charmes des jolies femmes. Je frottais mes mains sur mon jeans, quand je relevai la tête, elle m'observait digne et fière et tellement mignonne qu'un petit rire s'échappa de mes lèvres. Je me trompe où elle avait été reine du lycée un jour ? Les princesses ont tendance à être ainsi. Bon, elle me regardait bizarrement mais avoué qu'il y a de quoi. Querido ? Une espagnole ? Intéressant.
- Rafaël Damon Evasione, mia bella... Je viens de l'extérieur de ces murs...
Si je l'ai appelé Bella c'était parce qu'elle ne s'était pas gênée pour m'appeler Querido. Je ne suis plus absolument sûr de la signification de ce mot. Ce devait être du genre "chéri" oui quelque chose dans ce genre. Entrainer par ma bonne humeur je ne pensais pas encore à comment elle réagirait en comprenant que je n'étais ni comme elle ni comme eux. Je pensais juste qu'a cet instant, j'avais trouver un passage et que j'étais arrivé sans effort. Bon, le retour allait être plus dur. Mais bon, on fait avec ce qu'on a.
[J'avais une idée pour terminé mais je 'lai oublié désolé x') ]
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| | | | Hilary P. Nelson
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 3 Aoû - 0:22 | |
| Argh, un Italiano ! J'évite de m'étouffer devant lui, et note le fait qu'il m'apelle Bella. Je sais pas vraiment ce que ça veut dire, mais je m'en fout. En même temps, je l'ai apellé querido, qui désigne l'amant. J'essai aussi de ne pas trop tiquer sur le fait qu'il a louché sur ma main de cadavre. Mais bon Dieu, qu'il aille se faire foutre ! Oh, pardon, Seigneur pas du tout puissant, je recommencerais plus... Je me reconcentre sur... Ah, oui, Rafael Damon Evasione... Un nom qui cadre franchement bien avec la situation. Je me présente, polie malgré le fait que les espagnols apprécient pas vraiment les Italiens... Bon, okay, avec les beaux Italiens, on se forcent un peu pour être méchants...
-Hilary Precious Nelson, captfi dans ce manoir de dingue...
Je reluque son sourire amusé quand il entend mon deuxième prénom, et ajoute :
-Pas de commentaire sur mlon deuxième prénom, gracias.
Je m'approche de lui, doucement, et l'observe des pieds a la tête. Des cheveux blond foncé, presque chatain, un visage au traits...harmonieux ne serait pas assez pour le décrire... Bref, beau, quoi... Des yeux de... Wouah, même chose, pas de mot ! Ensuite, un torse totalement divin, sculpté naturellement, ça se devine. Et puis un pantalon noir, volontairement délavé, ou alors le passage dans l'herbe restera un mauvais souvenir pour ce pantalon... Et des baskets noires, simple, mais classe. Pour un peu, je ronronnerais de plaisir tellement c'est fantastique de comtempler un tel Adonis ! Je tourne autour de lui, délibérément, mais pas avec insistance. J'suis pas une violeuse, quand même !
-Tiens, que vois-je, là, dans tes yeux, querido ? minaudais-je. Toi, tu est en train de te demander si j'ai pas été reine du lycée... Pas loin, pas loin... J'été pas assez garce, apparament, alors que la tête couronnée l'été a peine plus que moi...
Je n'ai aucune honte a dire que, quand je le souhaite, je peux être 10 fois pire que ces filles qu'on voit dans Gossip Girl. Elles ressemblent a des anges, a côtés de moi... |
| | | | Rafaël D. Evasione
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 3 Aoû - 17:35 | |
| Je ne pus m'empêcher de rire en voyant son air quand elle remarqua que j'étais italien. Je vis la moutarde lui monté au nez. Donc, pour elle, ce serait tout craché ? Les italiens et les espagnoles ne feraient pas bon ménage ? Je trouve qu'il faut essayer avant de juger. Moi, elle me fait plus rire qu'autre chose. Precious? Mais voyons. bon, il fallait dire que "Evasione" est plutôt approprié pour ma situation. Précieuse, elle l'était peut-être, sûrement. N'empêche ce n'est pas commun. Je fis comme elle dis, aucun commentaire sur son deuxième prénom mais mes yeux parlent d'eux-même. Puis elle commença à me tourner autour. Dans un premier temps, je ne bougea pas, un peu curieux. J'avais l'impression d'être un cheval qu'on jauge pour voir si il vaudrait quelque chose. Alors je me retournais vers elle. Mais elle ne s'arrêta pas continua sa ronde tout en me parlant. Je soupirai et attendit qu'elle se lasse. Elle s'arrêta, je ne sais pas si c'est d'avoir entendu mon soupire ou pas. Je lui tourne le dos la. Pas assez garce ? Parce qu'il fallait être une garce pour être reine du lycée ? Quelle question non mais --'. Juste que je me suis jamais intéressé à ces filles. Donc je ne peux pas savoir comment elles étaient. Je me retourne vers elle. Son regard brillait de défi. elle veut sincèrement jouer avec moi ? Pourquoi pas? Je lui sortis un des mes sourires les plus angéliques.
- Alors je suis soulagé que tu ne fasses pas partie de ces garces-là, signorina, dis-je d'une voix suave et assez chaude,oui.
Je pris sa main dans la mienne et je me pencha tout en l'amenant à mes lèvres. J'y déposa un baiser tout en ne la quittant pas des yeux. Gentleman ? Politesse ? Foutage de gueule oui. Y'a pas à dire je m'amuse bien moi. Elle retira sa main vivement quand le déclic se fit, je la laissait me filer entre les doigts, encore un peu penché avant de me redressé. Je n'aime pas trop qu'on me tourne autour. Je pouvais aller plus loin pour l'embêter mais je n'avais pas encore de raison valable de le faire.
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| | | | Hilary P. Nelson
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 3 Aoû - 18:51 | |
| Je le fusillais du regard tout en retirant ma main, comme si la sienne m'avais brûlée. Je marmonnais une insulte a peine audible, et m'éloignait de quelques pas. Je lui rendi son sourire, tout en y insufflant une pointe de malice. Son attitude me plait, j'ai envie de jouer avec lui. En même temps, il m'enerve. Nan mais il se prends pour qui, l'Italiano ? Un beau mec ? Euuh, okay, j'ai rien dit, parce que franchement, là, il aurait pas tort...
-Qui sais si en fait je ne suis pas la pire des garces, querido..., soupirais-je.
Je m'éloignais de lui, après avoir fait demi-tour, et m'assayait au pied d'un des murs du manoir. Mon coeur allait trop vite pour que ça soit normal. Et comme une conne, j'ai oublié mes cachets a l'interieur du bâtiment. Je sens que ma respiration s'accelère, et je suffoque presque. J'ai horreur de cette sensation d'étouffer sans pouvoir rien faire. Je me relève, incapable de rester en place, et je me mets a agita ma main devant mon visage, dans l'espir de calmer la sensation d'étouffement. J'ai oublié l'Italien, je me fiche qu'il me voit comme ça, tout ce que je sais, c'est qu'a chaque nouvelle crise, j'ai l'impression de mourir. C'est énervant, c'est la deuxième de la journée, j'en peux plus, je vais mourir...
Des mains m'aggripent les épaules, et me relève. Ah, je suis tombée ? Je lève mon visage vers Super Man, et dévisage Rafael. Argh, je l'avais oublié... Il me regarde, comme si j'été folle, j'ai envie de le claquer, c'est affreux, qu'est ce qui se passe ? Des étoiles noires dansent devant mes yeux, je distingue mal le visage de l'Italien. D'un sourire contrit, je m'excuse de ce qu'il a vu. Foutu problème cardiaque, tiens ! |
| | | | Rafaël D. Evasione
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 3 Aoû - 19:15 | |
| Décidément, j'adore cette fille. Je la laisse me fusiller du regard sans riposté, comme si ça ne m'atteignait pas. Je lui souriait, mon regard brillant de malice et de défi. Elle ne m'aime pas, mais elle s'amuse tout autant que moi. Je pense que c'est le principal.
" -Qui sais si en fait je ne suis pas la pire des garces, querido..., soupira-t-'elle."
Je lui retournais un sourire ravageur. Je ne la drague pas, je l'emmerde. Elle sait que je joue. Je peux jouer aussi bien qu'elle. Qu'elle ne s'y méprenne pas surtout. Avec tous ça, j'en oubliais presque ce manoir et ces fichues caméra. Mais j'étais toujours dans l'angle mort. Donc, pas de panique.
- Oh mais je sais que tu ne l'es pas mia bella... Sinon, tu m'aurai déjà mangé tout cru...
De la provoque, pur et simple. Quand je m'y mets je suis un bel emmerdeur. Elle ne releva pas et se détourna. Je la regardais partir avec un merveilleux sourire. Je ne la laissera pas ainsi. Je leva les yeux, pour savoir si il allait falloir à nouveau ramper pour l'atteindre. Non, apparemment. Ca aurait donner une occasion à Hilary de foutre de ma poire. Il me suffisait de longer les mur, les caméra de bouge pas, en dessous, elles ne te voient pas. Hilary était sous l'une d'elles. Temps mieux. A croire qu'il n'ont pas prévu qu'il y aurait des parasites tels que moi. En me rapprochant, je remarquais quelque chose d'anormal chez la jeune fille, il tomba, recroquevillé sur elle-même. Merde. Je pressais le pas, sans pour autant me faire avoir. Arrivé à son côté, je la redressais. Elle semblait ailleurs, en tous cas elle avait du mal à respiré. Je ne savais toujours pas quoi faire quand elle commença à aller mieux. Je laissai les sarcasmes pour plus tard :
- Tu es sûr que ça va ?
Je m'inquiétais réellement. Parce que ce n'était pas du bluf. Je le prendrais mal si elle en profitait pour me sortir quelque chose comme si de rien n'était. Je pris son poignets gauche, cherchant son pouls. Il paraissait lent. Mais je ne suis pas médecin. Je sais juste deviné qu'elle a un problème, peut-être cardiaque. Ben oui, je lis beaucoup, je vois beaucoup de choses aussi. Bref. Par contre j'en revenais pas de ce que je venais d'apprendre. Ce que j'allais dire n'était qu'un aparté, je ne lui parle pas directement :
- Ils ont été jusqu'à prendre des gens pas forcément en super bonne santé...
Mon regard se perdit dans le vide. Je lâchais ses épaules, restant accroupi devant elle. Pensif. Merde, c'était pire que tout ça. Puis je relevais la tête. Attendant qu'elle me confirme si ça allait ou pas.
|
| | | | Hilary P. Nelson
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Mar 4 Aoû - 17:55 | |
| Je suffoque encore un peu, mais ça va mieux, mieux que tout a l'heure. Je suis habituée a cet état, après une crise. Je fait signe a Rafael que sa va, et je tente de me relever. Bon, ça marche pas, je me rassoit, et fixe le jeune homme. Je repense a ce qu'il a murmurer, ce n'est sans doute pas a moi qu'il s'adressais, mais je relève quand même.
-De quoi tu parles, Rafael ?
Je me saisis de sa main, et la serre pour l'obligé a répondre. Si il ne fait pas, je le mord jusqu'au sang, et je l'emmène aux malades qui nous servent de tortionnaires. Il me regarde, je ne sais pas si il est surpris, en colère, ou quoi que ce soit d'autre, mais ça me gène. Je le lache et me relève, sans retomber, cette fois. Je m'adosse au mur, et inspire un bon coup. Pourquoi suis-je genée par le fait qu'il me fixe avec une expression indéfinissable. Je frotte la cicatrice de mon poignet, celle sous laquelle se cache la petite puce electronique que les Cinglés nous ont glissées sous la peau. J'ai vu la même sur Alex', et sur les autres captifs. [désolée, c'est carrément trop court] |
| | | | Rafaël D. Evasione
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Jeu 6 Aoû - 21:26 | |
| Mon expression est assez indéfinissable, en effet. Un peu surpris. Je m'attendais pas à ce qu'elle me pose une question sur mes murmures. Je parle souvent tout seul. Quand je suis seul ça ne me pose pas de problème, mais en public, les gens ont tendance à ne pas comprendre à a vous prendre pour un fou. Seulement, la plupart du temps, on m'ignore. Puis je fixe la main qui me tient fort. Très fort, je précise. Le truc c'est que je ne réagis pas. Elle trouve ça si important ? Alorsr je vais répondre... J'ouvris ma bouche puis la referma quand elle me lâcha. Elle se releva, l'air déterminer et ne flancha pas cette fois. Quand même un peu hésitante, mais déterminé à rester debout. De qui ai-je entendu que les espagnoles avait un caractère digne et fier ? Je ne sais plus. Ce que je sais, c'est que les italiens ne valent pas mieux. Ca doit être pour ça qu'il y a des tensions entre nous. Bah... Je me relève donc, en jetant un coup d'oeil à la caméra puis vient m'adosser au mur en face d'elle. J'y posais ma tête. Je la regardais complètement sérieux, mais inquiet. Ben oui, je m'inquiète vite pour les gens --'. J'ouvris la bouche pour lui proposer de s'assoir mais je m'en retins à temps. Si fière elle l'était, elle n'aimerai pas ça. Alors je répondit à sa question tout en regardant le poignet qu'elle frottait :
- Ce que font ces "gens" avec vous ressemble à des expériences on va dire... Je n'en suis absolument pas sûr et même si ce n'est pas le cas, c'est déjà bien trop cruel... J'ai basé mes hypothèses sur des expériences... Ne m'interromp pas par pitié ce n'est pas parce que je parle sur un ton si objectif que tout ça ne me fait rien... C'est juste plus facile à en parler ainsi pour faire le plus court possible...
Me précipitai-je de dire en la voyant me jeter un regard pessimiste, je la voyais déjà prête à contré mes propos, à m'assurer que ces gens était des dégénéré mentaux, des cruels psychopathes, ou que sais-je encore. Mais tout ça je le savais. Mais si je parlais comme ça, j'y passerai des heure alors que je voulais abréger. Je la vis refermé la bouche et elle attendit la suite, alors je repris :
- Déjà, le fait que vous étiez... euh... Pucez? Est déjà un obstacle en soi, un sacré obstacle. Je n'aime pas tout ça, de l'extérieur, on dirait des scientifiques qui font des expériences sur des souris blanche... Mais le fait que tu ai ces petites crises est un signe de cruauté et aussi prouve qu'ils n'ont aucun sens moral... Quand on fait des expériences, on prend les individus en meilleur santé, les plus fort,... Je ne dis pas que tu es faible, je dis juste que tu as un point faible par apport aux autres...
Je recommencais à me parler. Cette longue tirade énervante était adressé autant à elle qu'a moi. C'était ma première impression sur cette nouvelle. Plus tard, je trouverai peut-être une autre interprétation. Et ca aurait du être celle-là justement, pas celle que je venais de tenter d'expliquer. Je relevais les yeux vers elle, attendant une rebuffade, peut-être des protestations. Mais c'est vrai que j'avais utilisez un ton assez neutre, voir presque indifférent. Mais je n'ai pas envie d'exposer si ouvertement mes sentiments. Alors je tentais un sourire, qui fut admirablement hésitant :
- J'ai bien l'intention de trouver un moyen de vous faire sortir...
J'attendais, j'attendais la suite. Sa réaction. Oui j'étais hésitant, dans ma voix dans mon regard comme dans mon sourire.
|
| | | | Hilary P. Nelson
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Mer 19 Aoû - 20:33 | |
| Mes quoi ? Mes crises ? Oh, il ne savait pas... Personne ne savait, même les Cinglés n'avait pas trouvé cette tare chez moi. J'avais tout simplement été operée très jeune du coeur, et j'été resté fragile. Une horreur, pour moi et mon sale caractère ! Je le regardais en face, tandis qu'il m'expliquait sa théorie. C'été pas bête, et pas impossible. Et puis il parla de nous faire sortir. Soudain très heureuse (nan mais qu'est ce qui cloche chez moi?), je me jetais a son cou, hurlant presque de joie. J'avais pas passé beaucoup de temps ici, mais je ne voulais pour rien au monde continué a vivre aux milieux des Cinglés.
-Gracias, Rafael, gracias ! Je t'en supplie, faut absolument que tu trouve !
Je respirais un bon coup, et son odeur d'homme me chatouilla les narines. Houps. Coupée net dans mon élan, je le lachais, baissais les yeux sur mes pieds, rouge de honte, sans oser le regarder. Je serrais mes poings pour éviter de me marteler toute seule. Ca servait a rien de faciliter la tache aux Cinglès. Nan mais qu'est ce que mon caractère emporté et mon esprit farfelu m'avait encore poussée a faire ? Mon Dieu ! J'avais enlacé un Italien ! Je n'osais pas vraiment faire genre je vais vomir, pour ne pas le vexer. Il avait promis de nous faire sortir de là, et moi, tout ce que je trouvais a faire, c'été ça. Oh gosh, ça craint trooop ! Je relevais un peu mon visage vers lui, il avait l'air de retenir un fou rire, mais en même temps d'être perplexe...
-Huum, pas de commentaire, s'il te plait... Quand aux "crises", c'est un problème cardiaque que j'ai depuis la naissance... C'est moche, et ça m'a empeché d'être pom-pom girl, ajoutais-je, sarcastique...
Je reprends une position normale, un peu arrogante et provocante. Normale, quoi. C'est comme ça que je me sens a l'aise, avec une attitude de fille que rien n'attends, ça me protège, tout simplement... |
| | | | Rafaël D. Evasione
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Sam 22 Aoû - 13:57 | |
| Sincèrement, je ne m'y attendais pas. De fait qu'en première réaction, je me crispa quand elle se jeta à mon cou. Puis elle me remercia. Sincèrement, il n'y a pas de quoi. Je signale juste que je n'ai pas encore trouvé. Si il n'y avait pas ces puces, celui qui était la cause de ma venue ici serait parti depuis longtemps et j'aurai su les faire tous sortir d'ici. Sauf que je me demandais si cette puce dans le poignet était le seul émetteur. Car il se pourrait bien qu'ils aient fait d'autre changement. Je ne suis pas médecin, je ne saurai pas savoir où on pouvait implanter des puces. Je me détendis. Mais je ne la prit pas dans mes bras. J'eus un sourire exquis. Je savais que dans quelque instant elle me lâcherait subitement en se rendant compte de ce qu'elle venait de faire. Ce qu'elle fit évidement. Je la regarda avec un air un peu moqueur. Ses joues était rouge, honteuse et furax. J'aurai bien ris mais elle m'aurait hurler dessus. Et sincèrement, je n'avais pas envie de me faire chopé ici. Quand elle me demanda de faire aucun commentaire, je levais mes mains en l'air et secoua la tête. Lui indiquant que je ne dirais rien mais mes yeux et mon sourire parlaient d'eux-même. Puis elle me parla d'une carrière de pom-pom girl raté à cause de son problème. Je l'observais longuement. Elle avait repris cet air arrogant et provocant. Sincèrement, j'adore.
- Mia bellezza... ne me dis pas que cette carrière te tenait à coeur... J'ai vraiment du mal à t'imaginer agité des pom pom dans tout les sens... Bon j'avoue que l'image de toi dans cet mini-jupe et ce mini-top décolté est assez plaisante...
Je joue avec le feux, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai envie de l'emmerder. J'allais me prendre une gifle dans un instant et ce serait bien fait pour moi. Sauf que je m'y attendrai et que j'aurai attrapé son poignet avant que sa main effleure ma joue...
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| | | | Hilary P. Nelson
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Dim 23 Aoû - 0:29 | |
| Je sourit, tout en le regardant. Moi, pom-pom-girl ? Agiter de gros pompoms colorés en portant THE tenue, celle qui fait fantasmer tout les sportifs ? Non, j'avais pas du tout besoin de ça, voyons ! Rafael continu de me fixer avec son drôle de sourire amusé, comme si il m'imaginais en tenue sexy. Joueuse, comme toujours, je m'approche à nouveau de lui, et résiste tant bien que mal a me pendre a son cou en l'embrassant. Mon hésitation doit se lire dans mes yeux, car il paru soudain... Embarrassé... Ses joues prirent une teinte pivoine révélatrice, et flatteuse pour moi. Au final, je me contente d'un baiser sur sa joue.
-Allez, avoue que ça te plairait, de me voir avec l'uniforme des majorettes sur moi... Ou a côté de moi... Je crois que j'ai quelque chose d'approchant dans ma malle, à l'intérieur... Ils ont vraiment pensé a tout, les Cingles !
Si il avait porté une chemise et une cravate, je l'aurais trainé sans hésité par la cravate jusque dans le manoir. Mais il ne portait ni l'un ni l'autre, a mon grand plaisir. Je l'ai déjà dit, nous autres Espagnoles, avec les beaux Italiens, on se force vraiment pour être méchantes et distantes... Désolée, super-court T_T |
| | | | Rafaël D. Evasione
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Lun 24 Aoû - 21:32 | |
| Embarrassé je l'étais. J'avoue que le rouge m'est monté aux joues en la voyant hésiter à m'embrassé. Dans un sens, je ne l'aurai pas laisser faire. Je ne cherche pas ce genre de complication. Je ne pourrais pas m'engager pour une relation longue ou courte, c'est du pareil au même. J'avoue, ça ne me rassure pas trop de m'engager avec une femme. Pour une nuit ou pour plus longtemps, ce n'est pas possible. Je fronçais légèrement les sourcils. Instinctivement, je mis une certaine distance entre nous deux. J'eus un petit sourire amusé et assez arrogant :
- J'avoue que l'image est tentante... Mais juste l'image... Mais ça ne m'intéresse pas désolé...
J'étais sérieux. Mais peut-être que se faire rembarré ne devait pas être dans ses habitudes. Je ne sais pas comment elle le prendra. Mais il n'empêche que j'aime ce petit effet. Je me redresse un peu, mettant encore plus de distance entre nous. J'observais sa réaction discrètement. La plupart des mec auraient sauté sur l'occasion, bon, certains Italiens n'auraient pas accepté par fierté. Mais ils sont rare ceux-là. Je ne fais pas partis de ceux qui sont fier ni de ceux qui n'hésiterai pas à lui sauter dessus. Je n'aime pas les complications, j'aime bien ma liberté. Et j'ai horreur des coups d'un soir c'est tellement rabaissant. Mais il n'empêche que ça m'amuse un peu. Alors je penchais la tête sur le côté et la regarda angélique :
- Je suis sûr que tu trouvera quelqu'un pour accepter l'offre...
[Pourri mais bon]
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| | | | Hilary P. Nelson
| | Sujet: Re: Si j'ai mal ? Tout dépend de qui me marche dessus[Hilary] Mer 10 Fév - 1:26 | |
| [spoiler]Il recula de quelques pas, et une pointe de colère et de frustration me transperça le coeur. Ce Rafaël, tout Italien qu'il fut, je devais me forçé pour me dire que ça ne collerait jamais entre nous. Il était craquant. Beau, même. Un peu hautain et sarcastique quand il voulait. Un peu moi, quoi. Méditerranéen, donc tempérament de feu, logiquement. Mais tout de même... On était pas des sauvages non plus, pas des solitaires, par chez nous ! Alors son attitude de "désolée ma chérie, pas avec toi. Ni avec toi, encore moins avec l'autre, au fond de la salle !" elle commençait doucement à m'enerver ! Il déclina galamment ma "proposition", et déclara que quelqu'un d'autre l'acceptera peut-être avec plus de joie que lui. Je grimaçais doucement. Je n'en voulais pas un autre ! Je le voulais lui, et je l'aurais, quoi qu'il arrive. Dussé-je le faire enfermer par les Cinglés avec nous, il restera à mes côtés. Je detestais que mes jouets tentent de prendre un semblant de liberté, et celui-là ne ferait pas exception ![spoiler] |
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